Mon histoire

Mon histoire

C'est à partir de mes 9 ans que j'ai commencé à avoir des visions paranormales. J'entendais d'abord un brouhaha, comme une foule dans un marché, alors que je bricolais tranquillement dans le grenier avec mes outils de menuiserie reçus pour mon anniversaire.

Dans cette pièce sombre, accolée à quelques nouvelles chambres récemment construites, j'étais surpris par ce vacarme qui semblait venir à travers les murs, en direction de la rue. Je finis par aller jeter un œil par la fenêtre d'une chambre, mais il n'y avait rien d'anormal, et surtout, aucune foule.

Je repris mon bricolage, mais le bruit recommença. Cette fois, j'entendis même, au milieu de cette foule invisible, des voix qui demandaient le silence : « Chut, chut... », puis le calme revint.

Pris de peur, je descendis rejoindre ma mère à la cuisine, sans oser lui dire ce que j'avais entendu. Les jours suivants, le même scénario se répéta : chaque midi, entre mes heures d'école, j'aimais retrouver mes outils, mais le bruit revenait, avec cette peur qui m'envahissait toujours plus, me poussant à fuir.

Puis un jour, en plus des sons, j'ai vu. Une quinzaine de personnes m'observaient. La chair de poule m'a envahi, tout comme en cet instant où je vous l'écris. Choqué, je me suis dit qu'il y avait quelque chose d'anormal en moi… et je n'ai plus jamais remonté dans cette pièce.

À l'étage en dessous, dans ma chambre, il m'arrivait encore d'entendre ces mêmes brouhahas, mais sans apparitions. Bien sûr, je descendais aussitôt, terrorisé.

Je me posais alors mille questions… Des esprits ? Je n'en avais jamais entendu parler. Pour moi, les fantômes avaient un drap sur la tête ou s'appelaient Casper, bien loin de ce que je venais de voir et d'entendre.

Le temps a passé. Mes parents ont décidé de déménager pour repartir à zéro, sans jamais savoir ce que j'avais vécu dans cette maison, où les malheurs semblaient s'accumuler pour notre famille.

Nous voilà partis dans la région d'enfance de ma mère, là où elle avait gardé ses meilleurs souvenirs. La vie a suivi son cours… Oui, je croisais encore parfois des personnes que moi seul semblais voir, et je rêvais que cela s'arrête. Par peur qu'ils interagissent avec moi, je faisais semblant de ne rien voir.

Dans cette nouvelle région, un guérisseur attirait les foules dans son cabinet, où ma mère et ses amies se rendaient dès le moindre souci de santé. Un jour, ma mère m'y emmena. J'avais 10 ou 11 ans, et je gardais toujours pour moi ces visions qui me dérangeaient.

La salle d'attente n'était autre que sa cuisine, remplie d'une dizaine de personnes. Puis ce fut mon tour. Ma mère m'avait expliqué que cet homme, un peu comme un médecin, pourrait me soulager du psoriasis qui envahissait mon visage.

Une fois le soin terminé, José, le guérisseur, me posa quelques questions, puis me dit : « Tu peux retourner par là, je dois parler à ta mère. »

Dans la voiture, ma mère ne put s'empêcher de me raconter ce qu'il lui avait dit : qu'il ne pouvait rien faire pour moi, car j'étais plus fort que lui. Mais qu'il valait mieux ne pas m'en parler si jeune...

OH ! Moi, j'ai pris ça comme un super pouvoir ! À cet âge, je ne pensais qu'à des tours de magie, ou à voler comme Superman...

Les années passèrent. Mis à part quelques apparitions qui continuaient de me perturber, j'oubliais cette histoire de capacité à soigner.

Bien sûr, il y a eu des moments marquants, que je n'ai compris que bien plus tard. Comme mon petit frère, dans la chambre à côté, qui pleurait la nuit :
« Franck, Franck, j'ai mal... »
Je lui répondais :
« Cédric, je ne suis pas ta mère, laisse-moi dormir... »

Mais au bout de quelques minutes sans sommeil, je finissais par le rejoindre. Il me suppliait :
« Mets ta main sur ma joue, j'ai trop mal... »

Et là, sans m'en rendre compte à l'époque, il s'endormait aussitôt.

Un jour, j'ai parlé de mes visions à mon meilleur ami. Je cherchais du réconfort, mais je me suis senti jugé. Il me lança :
« Tu as perdu ton père à 8 ans, ça t'a perturbé… C'est de la fiction, il faut redescendre sur terre. »

Comme si j'avais choisi de vivre cela…

Blessé, j'ai gardé le silence pendant des années. Je ne voulais plus jamais me faire rabaisser ainsi.

J'ai aussi en mémoire certaines fêtes, à l'adolescence ou jeune adulte, où je finissais toujours collé à des gens malades ou en détresse. Ils me racontaient leurs souffrances, et me demandaient pourquoi ils se confiaient toujours à moi.

À ce moment-là, je ne pensais pas du tout au don de soigner. Pour moi, j'étais juste dérangé par des esprits...

Puis, au fil du temps, j'ai commencé à m'intéresser aux discussions familiales sur les phénomènes paranormaux. J'ai alors osé parler de mon vécu. Et j'ai découvert que ce n'était pas un problème… mais un don. Un don qui pouvait soulager et aider.

Pendant des années, mes proches m'ont demandé :
« Peux-tu m'enlever cette douleur ? »
« Tu crois que tu pourrais soulager cette brûlure ? »

Discrètement, j'ai commencé à soigner, à soulager, uniquement mes proches.

Puis un jour, après ma séparation, mes deux filles m'ont dit :
« Papa, maintenant, tu dois recevoir du monde pour soigner. »

Je me débattais intérieurement, tiraillé.

Et puis, dans mon nouvel appartement de célibataire, j'ai créé une salle de soin. J'ai d'abord accueilli les amis de mes proches, puis leurs collègues, puis d'autres encore. Les journées se remplissaient, en plus de mon travail.

Une rencontre amoureuse magique a tout fait basculer.

Pendant ma période de célibat, j'avais suivi des formations en massage. Je motivais mon amoureuse à faire de même.

Nous avons décidé ensemble de nous lancer : massages, soins, médiumnité, énergies…

Après quelques années à recevoir dans mon appartement à Mouscron, nous avons déménagé à Menin, pour rester proches de nos patients fidèles.

Ma compagne reçoit pour les massages et, au fil du temps, découvre elle aussi les énergies qui nous entourent. Elle apprend à éliminer les énergies négatives et à renforcer les positives, ce qui rend ses massages profondément bénéfiques.

Et aujourd'hui…

Nous exerçons ensemble, avec passion, simplicité, et toujours dans l'intention d'aider, d'écouter, de soulager. Ce don, longtemps incompris, est devenu notre chemin de vie.

Souhaites-tu que je t'aide à le structurer encore davantage, pour un usage spécifique ? (livre, site web, post réseau, etc.)

Vous avez dit :

merci. enleve les alusions à ma compagne qui ne travaille plus avec moiChatGPT a dit :

Avec plaisir ! Voici ton texte révisé, corrigé et sans les références à ta compagne, tout en gardant l'émotion et l'authenticité de ton témoignage. J'ai également veillé à ce que la transition reste fluide malgré la suppression de cette partie.

Mon histoire

C'est à partir de mes 9 ans que j'ai commencé à avoir des visions paranormales. J'entendais d'abord un brouhaha, comme une foule dans un marché, alors que je bricolais tranquillement dans le grenier avec mes outils de menuiserie reçus pour mon anniversaire.

Dans cette pièce sombre, accolée à quelques nouvelles chambres récemment construites, j'étais surpris par ce vacarme qui semblait venir à travers les murs, en direction de la rue. Je finis par aller jeter un œil par la fenêtre d'une chambre, mais il n'y avait rien d'anormal, et surtout, aucune foule.

Je repris mon bricolage, mais le bruit recommença. Cette fois, j'entendis même, au milieu de cette foule invisible, des voix qui demandaient le silence : « Chut, chut... », puis le calme revint.

Pris de peur, je descendis rejoindre ma mère à la cuisine, sans oser lui dire ce que j'avais entendu. Les jours suivants, le même scénario se répéta : chaque midi, entre mes heures d'école, j'aimais retrouver mes outils, mais le bruit revenait, avec cette peur qui m'envahissait toujours plus, me poussant à fuir.

Puis un jour, en plus des sons, j'ai vu. Une quinzaine de personnes m'observaient. La chair de poule m'a envahi, tout comme en cet instant où je vous l'écris. Choqué, je me suis dit qu'il y avait quelque chose d'anormal en moi… et je n'ai plus jamais remonté dans cette pièce.

À l'étage en dessous, dans ma chambre, il m'arrivait encore d'entendre ces mêmes brouhahas, mais sans apparitions. Bien sûr, je descendais aussitôt, terrorisé.

Je me posais alors mille questions… Des esprits ? Je n'en avais jamais entendu parler. Pour moi, les fantômes avaient un drap sur la tête ou s'appelaient Casper, bien loin de ce que je venais de voir et d'entendre.

Le temps a passé. Mes parents ont décidé de déménager pour repartir à zéro, sans jamais savoir ce que j'avais vécu dans cette maison, où les malheurs semblaient s'accumuler pour notre famille.

Nous voilà partis dans la région d'enfance de ma mère, là où elle avait gardé ses meilleurs souvenirs. La vie a suivi son cours… Oui, je croisais encore parfois des personnes que moi seul semblais voir, et je rêvais que cela s'arrête. Par peur qu'ils interagissent avec moi, je faisais semblant de ne rien voir.

Dans cette nouvelle région, un guérisseur attirait les foules dans son cabinet, où ma mère et ses amies se rendaient dès le moindre souci de santé. Un jour, ma mère m'y emmena. J'avais 10 ou 11 ans, et je gardais toujours pour moi ces visions qui me dérangeaient.

La salle d'attente n'était autre que sa cuisine, remplie d'une dizaine de personnes. Puis ce fut mon tour. Ma mère m'avait expliqué que cet homme, un peu comme un médecin, pourrait me soulager du psoriasis qui envahissait mon visage.

Une fois le soin terminé, José, le guérisseur, me posa quelques questions, puis me dit : « Tu peux retourner par là, je dois parler à ta mère. »

Dans la voiture, ma mère ne put s'empêcher de me raconter ce qu'il lui avait dit : qu'il ne pouvait rien faire pour moi, car j'étais plus fort que lui. Mais qu'il valait mieux ne pas m'en parler si jeune...

OH ! Moi, j'ai pris ça comme un super pouvoir ! À cet âge, je ne pensais qu'à des tours de magie, ou à voler comme Superman...

Les années passèrent. Mis à part quelques apparitions qui continuaient de me perturber, j'oubliais cette histoire de capacité à soigner.

Bien sûr, il y a eu des moments marquants, que je n'ai compris que bien plus tard. Comme mon petit frère, dans la chambre à côté, qui pleurait la nuit :
« Franck, Franck, j'ai mal... »
Je lui répondais :
« Cédric, je ne suis pas ta mère, laisse-moi dormir... »

Mais au bout de quelques minutes sans sommeil, je finissais par le rejoindre. Il me suppliait :
« Mets ta main sur ma joue, j'ai trop mal... »

Et là, sans m'en rendre compte à l'époque, il s'endormait aussitôt.

Un jour, j'ai parlé de mes visions à mon meilleur ami. Je cherchais du réconfort, mais je me suis senti jugé. Il me lança :
« Tu as perdu ton père à 8 ans, ça t'a perturbé… C'est de la fiction, il faut redescendre sur terre. »

Comme si j'avais choisi de vivre cela…

Blessé, j'ai gardé le silence pendant des années. Je ne voulais plus jamais me faire rabaisser ainsi.

J'ai aussi en mémoire certaines fêtes, à l'adolescence ou jeune adulte, où je finissais toujours collé à des gens malades ou en détresse. Ils me racontaient leurs souffrances, et me demandaient pourquoi ils se confiaient toujours à moi.

À ce moment-là, je ne pensais pas du tout au don de soigner. Pour moi, j'étais juste dérangé par des esprits...

Puis, au fil du temps, j'ai commencé à m'intéresser aux discussions familiales sur les phénomènes paranormaux. J'ai alors osé parler de mon vécu. Et j'ai découvert que ce n'était pas un problème… mais un don. Un don qui pouvait soulager et aider.

Pendant des années, mes proches m'ont demandé :
« Peux-tu m'enlever cette douleur ? »
« Tu crois que tu pourrais soulager cette brûlure ? »

Discrètement, j'ai commencé à soigner, à soulager, uniquement mes proches.

Puis un jour, après ma séparation, mes deux filles m'ont dit :
« Papa, maintenant, tu dois recevoir du monde pour soigner. »

Je me débattais intérieurement, tiraillé.

Et puis, dans mon nouvel appartement de célibataire, j'ai créé une salle de soin. J'ai d'abord accueilli les amis de mes proches, puis leurs collègues, puis d'autres encore. Les journées se remplissaient, en plus de mon travail.

Aujourd'hui, je reçois à Menin, dans un espace calme et propice au soin, où je continue d'accueillir les personnes en demande, qu'elles soient en souffrance physique ou émotionnelle.

Ce don, longtemps gardé secret par peur du jugement, est devenu une mission de vie. Chaque jour, je mesure l'impact qu'il peut avoir… et c'est avec humilité que je continue à aider, écouter, et soulager.


 


Témoignages clients

Je recommande ce que disent les mains,moi mème je me fais aider de cette façon, les épaules et les Hallus Valgus ne me font plus souffrir, si vous souffrez de divers petits maux n'hésitez pas,

Michèle

Heel tevreden!
Vriendelijke mensen, aangenaam ontvangst!
Zeker een aanrader!

Abigail

Soin énergétique certainement á recommander. Pour ceux qui peuvent tout lâcher, un niveau de conscience complètement différent vous attend.


Nancy

Des mains magiques. ...douleurs disparues. .Merci Franck

Monique

Très bonne séance
J y suis aller pour des problème dos et la 3jours après me sens vraiment mieux
A recommandé 👍

Cathy